Juliette Renaud, chargée de campagne sur les Industries extractives aux Amis de la Terre France, commente : « L’exclusion des gaz de couche ne repose sur aucun argument scientifique, et n’a rien d’un hasard : c’est le fruit des pressions des industriels, car c’est le seul hydrocarbure non conventionnel qui fait actuellement l’objet d’explorations en France. L’urgence climatique exige pourtant qu’on cesse immédiatement tout investissement dans les énergies fossiles, à commencer par les hydrocarbures non conventionnels » (2).
(Easybourse.com) Le groupe français, qui se heurte à l'interdiction de la fracturation hydraulique en France, place ses pions à l'étranger. Après les Etats-Unis, la Chine et quelques Etats européens (Pologne, Royaume-Uni notamment), le Brésil se lance dans l’exploitation du gaz de schiste. L’Agence nationale du pétrole (ANP) a attribué jeudi 72 concessions à travers le pays, pour un montant de 165 millions de reais (environ 52 millions d'euros).
Le ministre de l’Ecologie, Philippe Martin, a indiqué tôt ce matin jeudi 28 novembre à Reporterre qu’il avait décidé "de refuser de signer la mutation à Hess Oil des sept permis d’Ile-de-France". Cette décision sera détaillée dans un entretien avec le journal le Parisien à paraître ce jour.
Communiqué de presse STOPMINES : "NOS TERRITOIRES NE SONT PAS «MINABLES» !"ven, 15/04/2016 - 17:02 — administrateur |