dim, 22/01/2012 - 22:56 — J.D.
Les collectifs français ALDEAH, les Collectifs IDF non aux gaz et pétrole de schiste et D’un plateau à l’autre, nous sommes informés de la lutte engagée par les Communautés de la Cuenca des Salinas Grandes et de Guayatayoc (provinces de Salta et de Jujuy) contre l'arbitraire et l'autoritarisme du gouvernement qui octroie des permis de prospection minière sur leur territoire sans les informer ni les consulter.
Nous dénonçons les entreprises d’exploitation minière à grande échelle, qui, chez nous en Europe, en Amérique du Sud, et partout dans le monde, ont recours à des technologies dévastatrices au mépris de l'environnement et des populations. Nous nous indignons de la complicité des nombreux gouvernements dits démocratiques avec ces pratiques intolérables menaçant l'existence de communautés détentrices d'une sagesse et de savoir-faire dont notre monde a tant besoin. Impliqués nous aussi dans la lutte internationale contre l’extractivisme, nous nous déclarons solidaires avec les communautés de Salta et de Jujuy de Salinas Grandes, de Gayatayoc et de tous ceux qui, à travers le monde luttent contre les sociétés minières dont la seule fin est le profit pour quelques-uns, et contre les gouvernements qui les cautionnent.
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mar, 03/01/2012 - 16:11 — ALDEAH
Convergence citoyenne pour une Transition énergétique Les Taillades, route des Grottes 30140 MIALET site web : http://www.convergenceenergetique.org
Chèr(e)s ami(e)s,
A l'initiative des collectifs contre l'exploration et exploitation des gaz et huile de schiste, le premier rassemblement de Convergence citoyenne pour une Transition énergétique s'est déroulé du 26 au 28 août 2011à Lézan. Il a dépassé toutes les espérances. Plus de 15 000 personnes ont répondu présent.
Les débats ont été riches et intenses. Ils ont débouché sur « la Déclaration de Lézan » adoptée le dimanche 28 août en assemblée plénière au terme d'une démarche de démocratie directe. Ce texte pose les bases d'une nouvelle société, sobre en énergie, respectueuse de la terre-mère, inventive, autogérée et relocalisée. Il indique les objectifs des futures mobilisations.
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mar, 20/12/2011 - 01:29 — ALDEAH
Victoire à la Pyrrhus ?.. Ou Victoire de la Sagesse populaire sur la folie de l'argent ?
Pavillon de l'Eau le 9 .12.2011 à Paris
Il y a un an, en Seine et Marne comme dans les Cévennes, on découvrait la menace d'un désastre : des permis, signés en catimini deux ans auparavant, offraient à des multinationales pétrolières l'exploitation d'énergies fossiles, au moment même où notre pays s'était engagé à réduire la production de CO2.
Une très vaste plate-forme de forage était déjà achevée sur la commune de Doue (77), quand on apprit que la technologie de forage entraînait un incroyable gâchis de l'Eau ! L'eau, ressource inaliénable, essentielle à la vie sur terre... Nos puits, nos rivières, nos fleuves seraient menacés, nos nappes phréatiques les plus pures, comme celle de l'Albien dans le Bassin Parisien, en péril. Déjà, la nappe de Champigny, réservoir d'eau potable de toute l'Ile de France, se trouvait en situation critique depuis des années ; l'agriculture en souffrait, ainsi que les populations soumises à l'Arrêté Sècheresse.
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dim, 18/12/2011 - 23:34 — ALDEAH
[Source : www.consommer-juste.fr]
Bonjour à vous,
La période qui arrive est porteuse de grands dangers. Désemparé, nous n’avons plus droit à la parole, elle nous est confisquée par l’idéologie de la finance spéculative. Je ne me reconnais pas comme beaucoup d’entre nous dans les positions démagogiques prises par les uns et les autres.
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jeu, 15/09/2011 - 10:26 — ALDEAH
Dans l'article 1, la loi interdit la fracturation hydraulique mais ne définit pas le terme et ne s'intéresse pas aux autres techniques. L'article 2, qui prévoit la création d'une commission nationale d'orientation de suivi et d’évaluation des techniques d’exploration et d’exploitation des hydrocarbures, ne dit rien sur son impartialité, et atteste de la volonté de poursuivre les recherches. L'article 3 abroge uniquement les permis citant le terme «fracturation hydraulique » et ne prend pas en compte les autres formulations et techniques. L'article 4 permet l'accès à l'information pour les citoyens mais ne ferme pas la porte à la recherche d'hydrocarbures de roche-mère sous couvert scientifique. Pourtant les risques sanitaires et environnementaux sont inhérents à la recherche même d'hydrocarbures dans la roche-mère.
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lun, 06/06/2011 - 00:16 — administrateur
Date de publication:
Jeudi, 12 Mai, 2011
Par:
Collectif citoyen IDF, Briard, 92, Facebook, 94 - NON aux gaz et pétroles de schiste ! et Comité de Vigilance du Périgord
Des collectifs citoyens contre les gaz et les pétroles de schiste s’invitent dans les bureaux du pétrolier Vermilion, premier producteur d’hydrocarbures liquides en France, également engagé dans des projets d’exploitation de pétrole de schiste (« huile de roche mère »).
Le mercredi 11 mai, une délégation de 12 personnes, membres de 6 collectifs (Périgord, Brie, Val-de-Marne, Hauts-de-Seine, Ile-de-France et Facebook) s’est rendue à l’antenne seine-et-marnaise de Vermilion, à Saint-Méry, pour remettre aux responsables de la société un courrier envoyé en recommandé le 4 mai et exiger des réponses aux questions posées dans ce courrier. La direction de Vermilion avait déclaré, le 21 avril dernier, lors d’une réunion publique à Vaudoy-en-Brie, avoir réalisé 17 fracturations hydrauliques en France, dont 15 sont vraisemblablement des « stimulations » des puits « conventionnels » et deux autres des tests de fracturation en vue de l’exploitation d’huile de roche mère. La technique de fracturation hydraulique étant questionnée – et bientôt interdite - en tant que telle (y compris pour la production dite conventionnelle), nous demandons à la société pétrolière de nous fournir, entre autres, les coordonnées géographiques exactes des sites concernés, la liste complète des produits chimiques qui ont été employés, ainsi que les informations sur les quantités d’eau utilisée et le traitement des eaux résiduelles.
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dim, 05/06/2011 - 23:44 — administrateur
Date de publication:
Lundi, 9 Mai, 2011
Par:
Collectif citoyen Ile-de-France NON aux gaz et pétroles de schiste !
Alors qu’une loi visant à interdire la fracturation hydraulique dans l’exploration et l’exploitation des hydrocarbures est en passe d’être votée, des citoyens exigent de la société pétrolière Vermilion la transparence sur sa production actuelle d’huile (pétrole) de schiste et sur ses activités de fracturation hydraulique réalisées et à venir.
Une délégation de citoyens se rendra mercredi 11 mai au bureau seine-et-marnais de la société pétrolière Vermilion, à Saint-Méry, afin de lui remette une liste de questions et d’exiger la transparence sur ses activités. Le mardi 10 mai, l’Assemblée nationale examinera une proposition de loi visant à interdire le recours à la fracturation hydraulique dans l’exploration et l’exploitation des hydrocarbures (gaz et pétrole). Cette technique dénoncée pour son caractère extrêmement polluant, est aujourd’hui incontournable pour l’exploration et l’exploitation des gaz et pétroles dits « de schiste » (ou « de roche mère »). Vermilion, au premier rang des producteurs en France, avec 50% de l’activité d’extraction d’hydrocarbures, a déclaré le 10 février dernier, lors d’une réunion avec les ministres Eric Besson et Nathalie Kosciusko-Morizet, extraire déjà quotidiennement près de 10m3 d’huile de roche-mère à partir de « deux de ses puits ayant fait l’objet de tests terminés de fracturation hydraulique ». Selon les documents internes de l’entreprise, ces puits sont situés en Seine-et-Marne, non pas sur des permis de recherche, mais sur des concessions d’exploitation existantes. Vermilion a en outre indiqué, lors d’une réunion publique le 21 avril 2011 Vaudoy-en-Brie, avoir déjà réalisé 17 fracturations sur le territoire français.
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mar, 31/05/2011 - 19:36 — administrateur
Date de publication:
Mardi, 31 Mai, 2011
Par:
Collectif Ile de France "Non aux gaz de schiste"
Les collectifs citoyens contre les gaz et huile de schiste appellent à s’opposer à l’adoption par le Sénat de la « proposition de loi visant à abroger les permis exclusifs de recherches d’hydrocarbures non conventionnels et à interdire leur exploration et leur exploitation sur le territoire national » laissant la porte ouverte aux industriels. Malgré son nom, et au vu des dernières modifications, cette loi permettra aux premières fracturations hydrauliques de voir le jour en 2011. Les collectifs appellent donc à une « action » et à un rassemblement
Mercredi 11 juin 2011 à 10h30 Sur la place Saint Michel (Paris 6)
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mar, 10/05/2011 - 00:25 — administrateur
Malgré la proposition de loi en cours d’examen, l’offensive des industriels se poursuit.
Alors qu’une loi visant à interdire la fracturation hydraulique dans l’exploration et l’exploitation des hydrocarbures est en passe d’être votée, des citoyens exigent de la société pétrolière Vermilion la transparence sur sa production actuelle d’huile (pétrole) de schiste et sur ses activités de fracturation hydraulique réalisées et à venir.
Une délégation de citoyens se rendra mercredi 11 mai au bureau seine-et-marnais de la société pétrolière Vermilion, à Saint-Méry, afin de lui remette une liste de questions et d’exiger la transparence sur ses activités. Le mardi 10 mai, l’Assemblée nationale examinera une proposition de loi visant à interdire le recours à la fracturation hydraulique dans l’exploration et l’exploitation des hydrocarbures (gaz et pétrole). Cette technique dénoncée pour son caractère extrêmement polluant, est aujourd’hui incontournable pour l’exploration et l’exploitation des gaz et pétroles dits « de schiste » (ou « de roche mère »).
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dim, 24/04/2011 - 11:24 — administrateur
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lun, 04/04/2011 - 23:39 — administrateur
Date de publication:
Vendredi, 1 Avril, 2011
Par:
Le Collectif GAZPARE
"Jeudi 17 mars se tiendra une réunion importante au ministère de l’Ecologie, sur la question du développement de centrales thermiques à gaz : 12 tranches actuellement en service ou en construction ; 21 autres en projet, pour un total équivalent à 8 réacteurs EPR. Ce développement majeur débuté en 2009 va obliger la France à augmenter de 25% ses importations de gaz d’ici 2020, alors que celles-ci sont restées stables les 10 dernières années.
Cette demande nouvelle en combustible fossile provoque une pression de plus en plus importante sur le prix de la ressource, et sera supportée par l’ensemble des usagers. - Elle pousse aujourd’hui les producteurs à se ruer vers le gaz non conventionnel, et en dépit des risques environnementaux posés par l’exploitation des gaz de schiste. - Cette croissance de la consommation éprouve les limites de nos infrastructures gazières : 3 milliards d’euros d’investissement sur le réseau pourraient être décidés, mais seraient supportés par l’ensemble des usagers. - Même si ces investissements se réalisaient, les opérateurs publics prévoient des congestions sur le réseau gazier dès l’hiver 2011-2012 puis de plus en plus fréquentes à mesure de l’accroissement du parc de centrales, menaçant à la fois l’approvisionnement en gaz et en électricité. - Enfin, cette consommation nouvelle va provoquer d’ici 2020 une augmentation nette des émissions de gaz à effet de serre de la production électrique nationale.
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mar, 22/03/2011 - 00:01 — administrateur
Date de publication:
Jeudi, 21 Avril, 2011
Par:
Le Collectif Stop Pétrole de Schiste 77
Nous ne pouvons que dénoncer les opérations de désinformation auxquelles se livrent les sociétés Toréador et Hess auprès de la population par voie de prospectus dans le village de Doue ou de pages de publicité dans la presse.
L'extraction du kérogène (appelé par commodité huile ou pétrole de schiste) intimement lié à la roche-mère à 2 où 3.000 mètres de profondeur n'a rien à voir avec l'extraction traditionnelle de pétrole telle que nous la connaissons dans le Bassin Parisien en général, et en Seine-et-Marne en particulier, depuis une cinquantaine d'années. L'extraction de la catégorie d'hydrocarbure que convoite désormais ces sociétés exige le recours à la fracturation hydraulique mise en oeuvre depuis quelques années notamment en Amérique du Nord où elle a rapidement fait preuve de sa haute dangerosité pour les populations et leur environnement.
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