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Évenements

Enlazando Alternativas 3

Dates et lieu de l'évenement
Date(s) de l'événement: 
Me, 14/05/2008 (Toute la journée) - Sa, 17/05/2008 (Toute la journée)

Amériques - Pérou - Lima

Enlanzando Alternativas

Troisième sommet du réseau bi-régional Enlanzando Alternativas (Tisser des Alternatives). En opposition aux négociations pour la signature des accords de libre échange entre l'Europe, l'Amérique latine et les Caraïbes (menées par les chefs d'Etat), Enlanzando Alternativas se présente comme une nouvelle alliance entre les sociétés civiles des deux continents et cherche à construire et à promouvoir des propositions alternatives en matière d'organisation sociale et économique.
Le réseau a été formellement crée en mai 2004 à Guadalajara, en marge du 3ème sommet des chefs d'Etat et de gouvernement Union européenne / Amérique latine et Caraïbes.

Produit intérieur doux : reconsidérer l’idée même de richesse

Dates et lieu de l'évenement
Date(s) de l'événement: 
Me, 19/03/2008 - 09:30 - Sa, 29/03/2008 - 09:00
Europe - France - Paris (St Ouen), du 19 au 29 mars 2008

 

« A partir du printemps 2008 et tout au long de l'année, des
conférences/débats, des projections de films, des spectacles vivants,
des expositions, des ateliers pédagogiques, sont proposés comme autant
de rencontres publiques sur un thème commun : la Richesse ».

Voir le site - voir le programme

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Produit intérieur doux : reconsidérer l’idée même de richesse

Dates et lieu de l'évenement
Date(s) de l'événement: 
Me, 19/03/2008 (Toute la journée) - Sa, 29/03/2008 (Toute la journée)

« A partir du printemps 2008 et tout au long de l'année, des conférences/débats, des projections de films, des spectacles vivants, des expositions, des ateliers pédagogiques, sont proposés comme autant de rencontres publiques sur un thème commun : la Richesse ».
Voir le site - voir le programme

Derniers communiqués

Communiqué de presse STOPMINES : "NOS TERRITOIRES NE SONT PAS «MINABLES» !"

Date de publication: 
Vendredi, 15 Avril, 2016
Par: 
Collectifs STOPMINES, Collectifs Anti Gaz et pétrole de schiste et de couche, inter collectifs

Communiqué de presse STOPMINES
[email protected]

 

 
NOS TERRITOIRES NE SONT PAS «MINABLES» !

Alors que les projets d'extraction minière pullulent, la contestation s'amplifie et s'organise :  en Bretagne, en Ariège, dans le Morvan, au Pays Basque, dans la Sarthe, dans la Creuse ou encore en Haute-Vienne et en Guyane, les permis de recherches sont imposés par l'État, mais aussitôt dénoncés par les citoyens et les collectivités, attaqués en justice par les associations et rejetés en masse par les agriculteurs et les propriétaires des terrains concernés. 

De la désinformation des populations :

Le ministère de l'Industrie et les sociétés de l'industrie minière ont mis en place une stratégie visant à convaincre l'opinion publique que les projets miniers sont  aujourd'hui  «responsables». Ils s'apprêtent à dévoiler ce printemps, le contenu d'un «livre blanc» des bonnes pratiques minières ainsi qu'une convention «d'engagement volontaire» de l'industrie minière. Des associations de protection de l'environnement (France Nature Environnement, Les Amis de la Terre) et l'association Ingénieurs sans Frontières ont refusé de servir de caution à cette mascarade.

Total récupère le permis de Montélimar

Date de publication: 
Lundi, 1 Février, 2016
Par: 
Collectifs

Nous prenons acte de la décision du Tribunal administratif de Cergy-Pontoise de ce jeudi 28 janvier d’accepter le recours de Total, annulant ainsi l’abrogation du permis de Montélimar.

Cette décision n’est pas une surprise pour nous.

Elle est la conséquence du manque de courage politique des gouvernements qui se sontsuccédé depuis 5 ans.

Aujourd’hui, pour que ce scénario ne se reproduise plus, nous demandons au gouvernement de légiférer pour interdire définitivement toute exploration et exploitation de gaz et pétrole de roche mère et autres hydrocarbures non conventionnels.

Nous lui demandons :

- de rejeter les 133 demandes de permis de recherche actuellement à l'étude.

- de refuser la trentaine de demandes de renouvellement de permis de recherche.

- d’abroger les permis en cours.

L’état d’urgence, bienvenue en démocrature !

Date de publication: 
Lundi, 30 Novembre, 2015
Par: 
Collectifs

LA GUERRE C’EST LA PAIX
LA LIBERTÉ C’EST L’ESCLAVAGE
L’IGNORANCE C’EST LA FORCE
(Slogans du parti unique dans 1984 de George Orwell)

La COP 21 s’est ouverte aujourd’hui. Depuis plusieurs mois, une grande marche internationale et populaire était en préparation à Paris, ville qui l’accueille. Elle n’a pas eu lieu, comme n’auront pas lieu d’autres initiatives citoyennes prévues à cette occasion, et surtout celles dont on pouvait espérer qu’elles fassent vaciller le rapport des forces. Seuls, les « grands » de ce monde, enfermés dans leur bunker et jalousement gardés par l’armée et la police [1], disserteront, au chevet de la planète, de la nature et des coûts des palliatifs à lui administrer. On aurait difficilement pu imaginer un scénario plus cynique, qui placerait aussi indiscutablement les acteurs autorisés – les représentants des États et les entreprises – en position de dicter LEURS « solutions ».

L’État français a instrumentalisé le contexte tragique des attentats du 13 novembre. La France a notifié au Conseil de l’Europe qu’elle allait déroger à la convention européenne des droits de l’homme [2]. Ces derniers jours, au moins 24 assignations à résidence ont visé non pas des terroristes agissant pour le compte de Daesh, mais des  militant(e)s des mouvements sociaux catalogués par les médias et le pouvoir comme étant de « l’ultragauche », « proches des milieux zadistes », des « mouvances écologistes radicales » et anarchistes [3]. L’état d’urgence, dont la prolongation a été votée par la quasi-totalité des députés (« de gauche » et « écologistes » compris) permet aux forces de l’ordre de perquisitionner sans passer par l’autorité judiciaire [4], de défoncer les portes, de violer l’intimité, d’agresser et de traumatiser des personnes (même des enfants), qui n’ont strictement aucun lien avec les attentats perpétrés à Paris (maraîchers bio, squatteurs, membres de la Coalition Climat 21, etc.)[5]. Après le choc des attentats, la plupart des gens préfèrent regarder ailleurs, excusant - quand ils ne les cautionnent pas - les abus des autorités au nom de la sécurité et de la peur. La machine infernale est en marche. Rapidement, l’état d’urgence - l’état d’exception - se normalise, l’exception devient la norme. Les sondages affichent un large soutien à la politique guerrière du gouvernement, pendant que celle-ci favorise, en réalité, la montée d’un nationalisme excluant, xénophobe, liberticide (les régions PACA et Nord-Pas-de-Calais-Picardie bientôt aux mains du FN ?). Ce processus, si ordinaire – matchs de foot maintenus, marchés de Noël ouverts, « le spectacle doit continuer » et « on n’arrête pas les affaires » [6] – n’est pas sans rappeler d’autres moments de l’histoire où des pays entiers ont glissé dans le totalitarisme en silence.

Estado de emergencia en Francia, bienvenidos en democradura !

Date de publication: 
Lundi, 30 Novembre, 2015
Par: 
Collectifs

LA GUERRA ES LA PAZ

LA LIBERTAD ES LA ESCLAVITUD

LA IGNORANCIA ES LA FUERZA

(eslóganes del partido único en 1984 de George Orwell)

 La COP 21 empezó hoy. Hace varios meses que se viene preparando una gran marcha internacional y popular en Paris, cuidad donde tiene lugar  dicho evento. Esa marcha no tendrá lugar, como muchas otras iniciativas ciudadanas previstas en esta ocasión y sobre todo, aquéllas que podían hacer vacilar las relaciones de fuerzas. Solos, los grandes de ese mundo, encerrados en su bunker y bien protegidos por el ejército y la policía [1], disertarán, en el lecho de muerte del planeta, sobre la naturaleza y los costos de los paliativos que quieren administrarle. Difícilmente hubiéramos podido imaginar un escenario más cínico que colocaría tan indiscutiblemente a los actores autorizados – es decir a los representantes de los Estados y las empresas- en posición de dictar SUS “soluciones”.

El Estado francés ha instrumentalizado el contexto trágico de los atentados del 13 de noviembre. Francia notificó al Consejo de Europa que  iba a derogar a la convención europea de los derechos humanos [2]. En los últimos días, fueron declarados por lo menos 24 arrestos domiciliarios, no en contra de los terroristas que actúan por el Daesh, sino en contra de los militantes de los movimientos sociales  que los medios  de prensa y el poder califican de “ultra izquierdistas”, “Zadistas”, “ecologistas radicales” o anarquistas [3]. El estado de emergencia, cuya prolongación fue votada por la casi-totalidad de los diputados (izquierdistas y ecologistas incluidos...), permite a las fuerzas del orden registrar los domicilios sin pasar por una autoridad judicial [4], romper las puertas, violar la intimidad, agredir y traumatizar a las personas (hasta los niños), que no tienen nada que ver con los atentados de Paris (horticultores, ocupantes de edificios abandonados, miembros de la Coalición Clima 21, etc.) [5].